Investissement immobilier : quels travaux puis-je financer avec mon assurance habitation et à quel prix ?

assurance habitation

Avoir une assurance habitation est obligatoire si vous êtes locataire ou propriétaire d’un logement localisé au sein d’une copropriété. Elle a pour but de vous protéger dans l’éventualité d’un quelconque sinistre. Qu’en est-il de la protection de vos biens électroménagers dans le cadre de l’assurance habitation ? À quel tarif faut-il s’attendre ? Nous vous expliquons tout.

À combien s’élève le prix d’une assurance habitation ?

D’après l’expert papercare.fr, le prix d’une assurance habitation s’élève en moyenne à 153 euros. Ce chiffre est actuellement en hausse. Selon la ville au sein de laquelle vous résidez, les tarifs varient. Ils peuvent s’élever de 65 euros à Rennes à 101 euros à Paris et à Aix-en-Provence. Autre élément permettant de déterminer le prix que vous paierez : les garanties optionnelles choisies. La garantie d’entretien électroménager en fait partie. Il faudra la choisir si vous souhaitez assurer vos biens électroménagers.

Que choisir : MHR ou assurance risques locatifs ?

L’assurance risques locatifs est à déconseiller si vous souhaitez assurer vos biens électroménagers. En effet, elle n’assure aucunement la garantie de vos biens personnels. La MHR (Assurance multirisque habitation), dont le coût est d’environ 180 euros annuels, est à privilégier. Elle dispose de différentes garanties habituelles (dégâts des eaux, incendie, etc.), tandis que d’autres sont optionnelles. Avant de les choisir, renseignez-vous sur les montants et calculs de remboursement proposés.

De quoi dépend le prix d’une assurance habitation ?

Selon l’expert papercare.fr, il existe plusieurs critères selon votre situation. Les voici :

  • Êtes-vous locataire ou propriétaire ? Avez-vous déjà subi des sinistres dans le passé ? Si oui, combien ?
  • Votre logement est-il un appartement ou une maison ? Quelle est sa superficie ?
  • Possédez-vous du mobilier ou des objets de valeur ?
  • Quel niveau de garantie souhaitez-vous : complet ? Intermédiaire ? Basique ?

Portez également votre attention sur la franchise, qui correspond au montant que vous devrez acquitter en cas de sinistre. Plus elle est importante, plus le contrat sera cher, et vice-versa.

Comment réduire le montant du contrat ?

L’expert papercare.fr nous livre plusieurs astuces pour y parvenir :

  • Soyez exact dans l’estimation de vos biens, notamment électroménagers : évitez de sur ou sous-estimer leur véritable valeur.
  • Si vous disposez de différents systèmes de sécurité, pensez à le préciser. Il peut spécialement s’agir d’alarmes ou de caméras.
  • N’assurez que ce qui est véritablement nécessaire.
  • Pensez à contacter votre assurance habitation à l’occasion de chaque changement important afin de mettre à jour votre dossier et de profiter ainsi d’une couverture la mieux adaptée à vos besoins.
  • Comparez les offres de différentes compagnies d’assurance, puis négociez avec ces dernières dans le but de les mettre en concurrence. Le but est qu’elles offrent une diminution de leurs tarifs.

Si vous venez de signer votre contrat et que vous trouvez ultérieurement une compagnie d’assurance proposant une offre plus pertinente, vous ne pourrez pas le résilier avant la première échéance. Après le paiement de cette dernière, contactez l’assurance qui vous intéresse : elle s’occupera probablement des démarches pour résilier votre précédent contrat. Pour plus d’informations fiables sur l’assurance habitation, n’hésitez pas à vous rendre sur ce site.

La banque en ligne

banque en ligne

On chante la louange des banques en ligne partout. Frais réduits, carte bancaire gratuite, offres de bienvenue alléchantes, etc. Ce marché en plein essor fait beaucoup d’adeptes ces dernières décennies suivant son apparition. Mais au fait, que valent-elles réellement ? Tour d’horizon des spécificités de la banque en ligne.

La banque quésaco  ?

Avant d’entrer dans le vif du sujet, il serait judicieux de distinguer d’abord les deux familles des banques en ligne. Il y a celles qui tiennent le titre de banques en ligne « première génération » et celles que l’on appelle « néo-banques ». La première catégorie fait référence aux enseignes virtuelles adossées à un établissement bancaire. Si elles sont rattachées à leur maison mère, elles n’ont pas d’agences, et donc n’ont pas d’espace physique où recevoir leurs clients. Tout est dématérialisé, y compris le service client. Les échanges se font exclusivement à distance, par le biais d’internet ou d’une application mobile.
Fonctionnant quasiment de la même manière que les banques en ligne de première génération, les néo-banques ont la particularité de proposer à leur clientèle des comptes courants, le plus souvent accompagnés d’une carte bancaire classique. Elles se démarquent des enseignes traditionnelles avec leur offre entièrement digitale. Les néo-banques sont donc très aficionados de smartphone, ce qui explique leur caractère rapide et intuitif.
On remarque aussi que leur offre continue de s’étendre, pour le plus grand bonheur des clients 3.0 adeptes du digital.

Comment ça marche ?

Le fonctionnement des banques en ligne n’a rien de draconien, et n’a plus rien de similaire à celui des banques traditionnelles. Que ce soit les tarifs, les conditions de souscription ou le service client, on remarque une énorme différence. En effet, on recense beaucoup d’organismes qui sont gratuits… mais pas sans conditions pour autant. En tout cas, on peut profiter d’un fonctionnement simple et avantageux, 100 % numérique.
L’absence de l’agence physique s’associe affirmativement avec une digitalisation totale. Même les banques de première génération qui restent affiliée à des enseignes physiques proposent rarement des opérations en agence. Tout se fait alors en clic-clics, ce qui est totalement adapté aux consommateurs modernes de nos jours. Les plages horaires sont très étendues, car les clients n’ont pas besoin de respecter le « 8 h à 17 h » pour obtenir de l’assistance.
Le client se rend alors sur l’application mobile ou le site web optimisé pour ouvrir un compte, demander un prêt, payer ses mensualités, déposer son épargne ou encore gérer son compte. Ces services numériques vont permettre d’éviter les déplacements.

Quelles sont les promesses d’une banque en ligne ?

La liste sera longue si l’on doit citer un à un les avantages majeurs des banques en ligne. Dès l’ouverture de compte, on peut sentir la simplicité. Quelques minutes suffisent pour un parcours de souscription à la fois fluide et sécurisé. À cela s’ajoutent des coûts réduits expliqués par l’absence des frais de gestion. La question de frais est justement celle qui rend ces banques hyper concurrentielles.
En adoptant la digitalisation massive, les banques proposent une gestion autonome et simplifiée. Ce qui donne naissance à un service client affichant une grande disponibilité. Grâce à cette grande flexibilité, les clients se sentent libres en effectuant leurs opérations.
Du côté cartes bancaires, les clients peuvent choisir entre une carte à débit immédiat ou une autre à débit différé. Le choix leur revient totalement. Par ailleurs, d’autres produits financiers classiques comme les épargnes et les comptes courants sont proposés. Si vous souhaitez, vous pouvez découvrir la liste des meilleures banques en ligne.

Comment défiscaliser grâce au Plan d’Epargne Retraite ?

Trois piles de pieces de monnaie

Le Plan d’Epargne retraite, ou PER, rencontre un réel succès auprès des Français. Ces deux dernières années, quelque 2 millions de contrats ont été souscrits. Ce placement donne, en effet, un avantage fiscal non négligeable pour une certaine partie de la population hexagonale. On vous détaille ici les caractéristiques de ce placement et les réductions d’impôts qui vont avec.

Le PER, c’est quoi ?

Comme son nom l’indique, le plan d’épargne retraite permet d’anticiper sur la retraite pendant nos années d’activité professionnelle. C’est un fonds en euros composé également d’unités de compte, à la manière de l’assurance vie. Il apporte la garantie d’un capital retraite et les unités de compte permettent de se positionner sur l’ensemble des marchés financiers, dont le marché actions. L’épargnant peut donc, par ce biais, se constituer un patrimoine à valoriser dans la durée.

Il faut toutefois noter que le PER ne sert qu’à financer la retraite. Par conséquent, les sommes versées sur celui-ci seront bloquées jusqu’à ladite retraire et ne pourront être retirées avant la date fatidique d’arrêt d’activité professionnelle. Toutes les données financières de votre compte épargne seront irrémédiablement sauvegardées sur le server HP de votre banque au fur et à mesure de vos dépôts, pendant vos quatre décennies professionnelles. Après ces fameuses quarante années, vous aurez la possibilité de réaliser une sortie en capital ou en rente.

Comment réduire son impôt sur le revenu ?

L’intérêt principal du plan d’épargne retraire, par rapport à une assurance vie ou un PEA, est la déduction d’impôt sur le revenu qu’il rend possible. En effet, les sommes versées volontairement sur le PER sont déductibles des impôts, dans la limite d’un certain plafond. Il existe deux régime selon votre situation professionnelle, à choisir selon si vous êtes salarié ou indépendant. La déduction des versements de votre impôt sur le revenu est possible mais en aucun obligatoire.

Le plan d’épargne retraire s’adresse en priorité à ceux dont la différence de revenus entre vie active et retraite est très importante. Il sera utile pour combler un éventuel trou creuser par des années un peu moins lucratives de votre vie professionnelle. Vous l’aurez compris, le PER permet de mettre des sous de côté et d’anticiper pour la retraite d’une part. De l’autre part, il offre aussi la possibilité de gagner un peu d’argent à court terme en économisant sur l’impôt sur le revenu. Pour réduire sur l’impôt de l’année en cours, ouvrez un PER avant le 31 décembre. Pensez-y !