Immobilier : dans quel secteur d’activité investir ?

Le marché de l’immobilier en France accuse depuis les cinq dernières années une progression et une croissance assez régulière.

Investir dans l’immobilier reste donc un investissement relativement rentable. Pourtant, lorsqu’on parle d’investir dans l’immobilier, la majorité des gens pensent uniquement à l’investissement dans l’achat-revente.

Or, il ne s’agit pas d’un seul secteur disponible dans l’immobilier. Cet article a pour objectif de cerner les différents secteurs d’activités dans lesquels il est préférable d’investir dans le domaine de l’immobilier.

Investir dans des résidences de services : un secteur d’activité en plein essor

Souhaitez-vous investir dans un secteur immobilier porteur ? Posez-vous un instant et pensez à investir en résidences de services. Outre les déductions d’impôts et de taxes dont peut bénéficier celui qui investit dans les résidences de service, ce secteur reste très porteur actuellement et présente de nombreux avantages.

Parmi les résidences de service qui existent, on peut compter la résidence pour seniors destinées à accueillir les personnes du troisième âge dans des logements meublés et comprenant certains services tels que la blanchisserie ou la restauration. Vu la proportion de population qui vieillit dans l’Hexagone, ce secteur immobilier reste un investissement sur lequel on peut compter.

Les résidences étudiantes sont également un autre type de résidence de services dans lesquelles il est possible d’investir. Le choix de la ville ainsi que le choix de l’emplacement à proximité des écoles sont les points-clés dans la réussite d’un investissement dans ce type de résidence.

Les résidences EHPAD qui accueillent les personnes âgées ou dépendantes pour des traitements médicalisés sont également rentables et attirent de plus en plus de professionnels. Parmi les nombreux avantages d’un investissement dans des résidences de services, on notera notamment la solidité et la pérennité des contrats de location qui vont jusqu’à 9 ans minimum dans certains cas.

Investir dans les SPCI

Les Sociétés de Placement Immobilier ou SPCI sont un bon moyen de placer votre investissement. En effet, l’affectation d’immobilier en location ou l’immobilier locatif est un marché qui n’a pas encore connu de crise flagrante. Le marché de l’offre et de la demande reste toujours légèrement en faveur de l’offre.

De plus, la rentabilité dans ce type de secteur reste encore correcte avec un rendement allant jusqu’à 4 % de votre placement. Par ailleurs, l’investissement dans une SPCI demeure plus accessible à un grand nombre de personnes du point de vue du financement et investissement de départ. Le choix de la SPCI est considéré depuis toujours comme un des meilleurs investissements immobiliers pour un placement.

Pour minimiser les risques dans ce secteur, il est important d’investir dans de grandes villes où sont concentrés le plus de locataires potentiels.

Comme dans le cas des résidences médicalisées, il a été constaté depuis quelques années maintenant que l’investissement dans une SPCI gérant des fonds immobiliers de santé reste un secteur rentable qui ne dépend pas des aléas économiques.

Vu le nombre de SPCI et le type d’investissement en SPCI qu’il peut exister, les fonds immobiliers de santé ainsi que les fonds immobiliers e-commerce s’imposent comme les plus attractifs.

Investir dans l’immobilier professionnel

Certes, l’immobilier professionnel dépend parfois de la situation économique du pays, mais ce secteur reste un secteur attractif.

La location d’immobiliers à des professionnels pour usage de bureaux et de commerce reste un investissement porteur puisque le rendement annuel brut peut atteindre les 10 % avec des taux de vacances assez faibles dans l’année.

À l’instar de la majorité des investissements immobiliers, il est indispensable de se diriger vers des villes assez peuplées et actives pour mettre toutes les chances de réussite de votre côté.

Pourquoi investir avec la Loi Malraux ?

Êtes-vous à la recherche d’un investissement qui vous apportera des bénéfices à long terme ? Avez-vous entendu parler de l’investissement immobilier ? En effet, qu’il soit neuf ou ancien, l’immobilier constitue un secteur attractif dans lequel le besoin est de jour en jour grandissant. Il s’agit d’une réelle opportunité d’affaires qui offre de nombreux avantages. De plus, il existe de nombreux dispositifs qui favorisent la bonne rentabilité de cet investissement. C’est le cas de la loi Malraux. Qu’est-ce que la loi Malraux ? Quels sont les avantages de ce dispositif ? Faut-il investir en la loi Malraux ? Avec vous, nous allons faire le point à travers cet article.

La Loi Malraux : qu’est-ce que c’est ?

La loi Malraux est un dispositif de défiscalisation qui vise à réhabiliter les zones historiques. En effet, il s’agit d’une loi qui a pour but de restaurer les anciens immeubles se trouvant dans certaines villes protégées. L’objectif est d’investir dans l’immobilier qui sera mis en location pour une durée minimum de 9 ans. Ainsi, les propriétaires ayant procédé à la rénovation d’un ancien bâtiment se trouvant dans une zone privilégiée et à sa mise en location bénéficieront d’une aide maximum de 100 000 euros déductible fiscalement par année. En outre, ce dispositif favorise la restauration des anciens bâtiments afin de les conserver. Il offre aussi de nombreux avantages fiscaux aux investisseurs.

Investir en loi Malraux : un bénéfice de réduction fiscale

Le principal avantage de la loi Malraux est la réduction fiscale qu’elle offre. En effet, ce dispositif garantit une bonne protection à moyen et à long terme à l’investisseur. En plus des opportunités de défiscalisation, il permet de bénéficier d’une réduction d’impôt selon la localisation du bien. Ainsi, si le bien mis en valeur est inscrit au patrimoine historique, vous pouvez bénéficier de 30 pour cent de réduction d’impôt.

De même, la réduction d’impôt s’élève à 22 pour cent lorsque l’immeuble est situé dans une zone remarquable. En loi Malraux, le plafond de dépense pris en considération est de 400 000 euros. Vous bénéficierez donc d’une réduction d’impôt de 120 000 euros.

Bref, si plusieurs milliers d’investisseurs français fortunés décident d’investir en Loi Malraux chaque année, c’est bien parce qu’il offre un atout fiscal non négligeable. Cette loi offre la possibilité d’être libre en matière de location. Dans le même sens, aucun plafond ni aucune condition de ressource n’est imposé au locataire. C’est le dispositif qu’il faut pour jouir d’une liberté financière totale en ce qui concerne votre loyer.

Investir en loi Malraux : une source de rendement

La loi Malraux offre aux investisseurs un meilleur rendement, lequel est nettement supérieur à l’inflation. De plus, son pouvoir au terme des 9 ans de location permet d’habiter soi-même le logement, de continuer à le louer ou de le vendre sans condition. Notons également le pouvoir bénéfique du report de la réduction d’impôt qui s’étend sur trois années consécutives lorsque le montant imposé est inférieur à la fraction déductible. Aussi, lorsque les travaux de rénovation des bâtiments sont réalisés par un architecte, cela fait baisser la facture fiscale.

Taxe foncière 2021, les essentiels à savoir

C’est l’échéance annuelle pour tous les propriétaires de biens immobiliers, soumis à un paiement semblable à ceux en location. La Taxe Foncière est un impôt qui concerne l’ensemble des personnes propriétaires de biens immobiliers classiques comme les logements, parking… Mais également des biens à usage professionnel comme les locaux commerciaux. 

À noter que pour payer la taxe foncière, ces biens doivent être imposables. À l’approche de l’annonce des dates officielles pour sa régularisation, nous allons vous faire un récapitulatif des essentiels à savoir pour cette nouvelle année et des possibles cas d’exonération de taxe foncière dont vous pouvez bénéficier. 

Méthode de calcul de la taxe foncière

Le montant du coût de la taxe foncière se base sur la valeur locative cadastrale d’un logement. Plus concrètement, la valeur locative cadastrale correspond au loyer annuel théorique que le logement concerné peut produire dans certaines conditions, par rapport à une date de référence instaurée par le gouvernement. 

Par la suite, la taxe foncière se calcule sur une base différente entre les propriétés bâties et non bâties. Cette base de calcul sur la valeur locative cadastrale est de 50% pour les propriétés bâties et 80% pour les non bâties. La base obtenue est par la suite multipliée par le taux imposé et voté par les différentes collectivités. 

Les dates clés à connaitre

Il est important de notifier que les dates concernant le paiement de la Taxe Foncière ne sont pas encore connues mais nous mettrons à jour celle-ci dès son annonce. En 2020, la date limite de paiement pour les propriétaires de biens immobiliers était le 16 Octobre pour la version papier et le 21 Octobre pour les paiements en ligne via impots.gouv.fr.

En général, les avis de taxe foncière sont envoyé 3 semaines avant la date butoir pour s’acquitter de celle-ci. Les périodes d’envois restent relativement les mêmes selon les années, ce qui signifie que vous les recevrez d’ici le mois de septembre 2021, pour un paiement en Octobre 2021. À noter que si vous êtes propriétaire d’un bien immobilier au 1er janvier 2021 mais qu’avant Octobre vous vendez celui-ci, vous devrez quand même payer la Taxe Foncière sur celui-ci. 

Exonération de la taxe foncière, les critères

Bien qu’obligatoire, il est tout à fait possible de se voir exonérer de la taxe foncière sous certaines conditions. Vous pourrez retrouver tous les cas de figure d’exonération de taxe foncière avec plus d’explications sur corrigetonimpot.fr.

Tout d’abord, vous pouvez voir votre taxe foncière selon certains critères liés à l’âge, notamment pour les personnes ayant plus de 75 ans et ce sous des conditions bien spécifiques.

Vous pouvez également demander une exonération partielle ou totale de la taxe foncière qui vous est adressée. Il vous suffit tout simplement d’écrire un courrier papiers ou électronique au Fisc, pour leur expliquer votre situation et vos possibles problèmes à la payer. Votre demande sera par la suite analysée par le Fisc qui décidera si oui ou non, vous serez exonérée de votre taxe foncière. Il est important de noter que tous les ans près de la moitié de ces demandes sont accordés par le Fisc. 

Immobilier : que savoir sur les SCPI de rendement ?

Chaque année, les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) attirent de nombreux épargnants. Mis en place depuis les années 1960, ce support de placement collectif est encore très utilisé de nos jours. Il a pour but de favoriser l’achat indirect d’un bien immobilier locatif à travers la souscription de parts. Les SCPI sont très indiquées pour les particuliers qui souhaitent investir leur épargne et réaliser d’importants rendements. Parmi les différents types de SCPI disponibles, la SCPI de rendement est la plus plébiscitée du fait des différents atouts qu’elle présente. Toutefois, avant d’investir dans une SCPI de rendement, il est judicieux de disposer d’un certain nombre d’informations utiles. Découvrez dans cet article tout ce qu’il faut savoir que les SCPI de rendement.

Comment investir dans une SCPI de rendement ?

La SCPI de rendement est présentée comme la meilleure solution face à la contreperformance des assurances vies en euros, mais aussi des placements bancaires. Celle-ci a pour mission principale la mise en place et la gestion d’un patrimoine immobilier. Pour y investir, vous pouvez acquérir vos parts de différentes façons. En effet, vous pouvez les acheter :

  • au comptant : ce mode de souscription est très utilisé, car il permet de profiter rapidement de revenus réguliers ;
  • à crédit : ce mode d’acquisition vous permettra de profiter d’un important effet de levier. Ce dernier correspond à la différence entre le coût de l’emprunt et le taux de rendement de la SCPI. De plus, elle vous permet de bénéficier d’un avantage fiscal important qui vous donne la possibilité de déduire, de vos revenus locatifs, les différentes charges à savoir le montant de l’assurance, les intérêts de l’emprunt, les frais de dossier de l’emprunt ;
  • en nue-propriété : cette possibilité permet de démembrer le bien entre deux parties que sont l’usufruitier et le nu-propriétaire. Côté fiscalité, le démembrement est très avantageux pour le nu-propriétaire, car celui-ci est exonéré de l’ISF pendant toute l’opération ;
  • à travers un contrat d’assurance-vie : ce mode d’acquisition se distingue par son tarif de souscription plutôt faible. De plus, niveau fiscalité, vos revenus sont imposés suivant la fiscalité de votre assurance-vie.

Quels sont les atouts des SCPI de rendement ?

La SCPI de rendement présente plusieurs avantages très intéressants pour les épargnants. En effet, ce support de placement se distingue par :

  • son taux de rendement : la SCPI de rendement se démarque des placements classiques par sa forte rentabilité. Comme l’affirment les experts, elle peut rapporter jusqu’à 6 % net. À titre de preuve, la SCPI de rendement présentait un taux de rendement de 4,35 % en moyenne en 2018 contre 4,43 % en 2017. Pour l’année 2021, les tendances s’annoncent plutôt favorables,
  • sa sécurité : il est important de savoir qu’aucun placement n’est sans risque. Toutefois, la SCPI de rendement présente un niveau de sécurité assez élevé,
  • son accessibilité : l’un des atouts majeurs de la SCPI de rendement est qu’elle est très flexible. En effet, pour investir dans ce support de placement, quelques centaines ou quelques milliers d’euros sont nécessaires. Ainsi, avec la SCPI de rendement, vous pouvez parfaitement adapter votre investissement à vos capacités de financement,
  • sa diversification : avec la SCPI de rendement, vous avez la possibilité de diversifier votre patrimoine en acquérant plusieurs types de biens. Avec ce support d’investissement, vous pouvez investir dans des biens immobiliers sur différentes zones géographiques c’est-à-dire en France, en Europe, et même à l’international. De plus, vous pouvez aussi investir dans différents autres actifs comme le commerce en ligne, la santé et bien d’autres.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les atouts des SCPI de rendement, vous pouvez télécharger sur internet un guide complet.

Comment fonctionnent les impôts locaux en France ?

Les impôts sont des versements non facultatifs et sans contrepartie qu’un citoyen ou une entreprise verse à l’administration de son pays. En plus d’être un véritable moyen de régulation des activités économiques, les impôts aident l’État dans les dépenses publiques et dans ses diverses réalisations. En France, on parle des impôts locaux. En quoi consistent ces impôts locaux ? Quelles sont les différentes sortes d’impôts locaux en France ? Comment les calcule-t-on ? Nous vous invitons à lire les éléments de réponse à ces différentes questions dans cet article.

À quoi servent les Impôts locaux en France ?

Collectés par les différentes collectivités locales, les impôts locaux en France servent à alimenter, à renforcer et à financer les budgets de ces dernières. Ces impôts peuvent varier d’une ville à une autre. Lorsque ces impôts sont collectés, ils sont distribués entre les communes, les départements et les régions qui composent la collectivité locale.

Les différents types d’impôts locaux en France

Aujourd’hui en France, les impôts locaux sont divisés en deux groupes à savoir : les impôts locaux directs et les impôts locaux indirects. Ils regroupent chacun une série de taxes et de cotisations avec des objectifs bien précis.

Les impôts locaux directs

Ils sont composés d’une série de taxes que les citoyens paient. Il s’agit de :

  • La taxe foncière sur les propriétés bâties et non bâties ;
  • La taxe d’habitation ;
  • La contribution économique territoriale ;
  • La cotisation foncière des entreprises (CFE) ;
  • La cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) ;
  • La taxe d’enlèvement des ordures ménagères ;
  • La taxe d’assainissement des eaux usées.

En plus de ces taxes, il existe des impôts tels que : l’Impôt sur revenus (IS), l’Impôt de solidarités sur fortune (ISF), l’Impôt sur les Sociétés (IS) et la Contribution sociale généralisée (CSG). Par ailleurs, les taxes d’habitation et les taxes foncières sont les plus importantes des impôts locaux directs. Ces deux taxes permettent à l’État français de mobiliser des milliards d’euros chaque année pour booster l’économie nationale et renforcer les budgets des différentes communes des collectivités locales.

Les impôts locaux indirects

Les impôts locaux indirects constituent plus de la moitié des recettes de l’État français avec une somme de plus de 178,4 milliards d’euros. La Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) représente l’impôt indirect le plus important. En plus de la TVA, il existe d’autres taxes telles que :

  • La fiscalité d’urbanisme ;
  • La taxe d’aménagement ;
  • Les droits de mutation ;
  • La taxe sur les remontées mécaniques.

Comment calculer ou déterminer les impôts locaux en France ?

Le calcul des impôts locaux en France se fait à partir de la taxe d’habitation et des taxes foncières. La première est prise en charge par l’occupant du domaine et la seconde par le propriétaire du domaine.

En outre, plusieurs données sont à prendre en compte dans le calcul et la détermination des impôts locaux en France depuis la valeur des biens jusqu’à la situation de celui qui les doit. Les calculs se font donc en fonction des valeurs locatives cadastrales. Il est possible de faire une simulation en ligne.

En définitive, ces impôts locaux participent à la vitalité de l’économie française, améliorent les modes et conditions de vie des Français et favorisent la réalisation des différentes infrastructures.

Est-ce que les banques communiquent entre elles pour les crédits ?

Si vous cherchez à effectuer un prêt bancaire, commencez par analyser votre capacité mensuelle à rembourser votre crédit. En effet, la banque qui est susceptible de vous accorder un prêt ne manquera pas de vérifier certaines informations. Ces informations concernent plus particulièrement vos finances. Comment les banques effectuent-elles leur recherche afin de valider votre solvabilité ? Est-ce qu’une communication s’installe entre elles pour les crédits ?

La banque vérifie votre solvabilité lors d’une demande de crédit

Dès le dépôt de votre demande de crédit, la banque vérifie votre capacité à rembourser ainsi que votre fiscalité assurance vie. Pour ce faire, vos prétentions, la situation de votre compte professionnel et vos revenus pour un nouveau prêt sont mis en confrontation. Il existe ainsi un fichier central des prêts que chaque banque pourra interroger. Si vous avez un crédit auprès d’autres banques, votre nom y figurera sûrement. Si vous n’y êtes pas, et que vous répondez aux critères de solvabilité, votre demande ne devrait pas être refusée.

La banque est seul maître de sa décision

La décision d’octroyer ou non un crédit à une personne est propre à la banque. Le fichier central de crédits et des prêts de la Banque de France est à la disposition de tous les organismes prêteurs. Ce système leur permet d’accéder à une plus grande richesse d’informations sur un emprunteur. Toutefois, rien ne les oblige à s’informer sur votre compte. Ces professionnels peuvent vous refuser un prêt même si vous n’avez pas de crédit chez une autre banque, et inversement. Ils en assument ainsi le risque. La communication inter bancaire n’est pas automatiquement déclenchée par les établissements financiers.

Votre parcours de remboursement est toujours retracé

Même si les banques ne communiquent pas régulièrement entre elles, elles peuvent avoir accès à des informations croisées. Que ce soit à travers une fiscalité assurance vie ou autre police, des recoupements sont effectués chez les compagnies d’assurance. Chez la majorité des banquiers et des assureurs, cette étape est cohérente étant donné que les assurances garantissent les crédits bancaires, notamment ceux des particuliers. Vos crédits et remboursements seront donc retracés automatiquement. De plus, les banques ne passent pas autant de temps à communiquer entre elles pour avis sur leurs clients potentiels.

Inutile de cacher vos crédits

Cacher des prêts que vous avez effectués auprès d’autres établissements financiers n’est pas nécessaire. Au contraire, vous avez intérêt à jouer la transparence. Un nouveau débiteur sera toujours le bienvenu auprès des sociétés de crédits, peu importe sa situation financière. Une personne qui cache des informations sera démasquée au moindre incident. L’honnêteté est donc de mise si vous souhaitez avoir les chances de votre côté. Vous ne serez jamais sûr si votre banque s’informera ou non auprès d’un autre établissement où vous avez contracté un crédit. D’autant plus que le fichier central des prêts enregistre chaque remboursement que vous avez contracté, et s’ils ont été payés à temps. Autant ainsi être clair dès que votre demande est déposée.

Si vous avez omis ou caché par exprès l’information sur un emprunt auprès d’une autre entité, ce ne sera pas bien vu. Cela se traduit par une fausse déclaration d’un crédit encore en cours, qui reste à apurer, donc une dette. Vous avez ainsi intérêt à être transparent auprès de la banque, et ce, même si vous pensez avoir atteint le seuil des 33 % d’endettement.

Banque : qu’est-ce qu’un compte titre ordinaire ?

Le CTO ou le compte titre ordinaire est rattaché à un compte courant. Il permet de faire un investissement et aussi de détenir des titres et valeurs immobilières. Ces derniers concernent notamment les obligations d’entreprises ou les actions. Suivant vos attentes, vous pouvez choisir les zones géographiques qui vous conviennent.

Un compte titre ordinaire, pour qui et comment ?

Vous voulez ouvrir un compte titre ordinaire, mais vous ne savez pas encore comment y procéder ? Kiwi Finance vous propose de découvrir toutes les informations. Tout d’abord, sachez que ce type de compte est accessible pour toute personne morale ou physique. Même un individu mineur a la capacité d’en ouvrir par le biais de son représentant légal. Ce dernier, qui deviendra bien sûr, par la suite son mandataire.

Pour l’ouverture d’un compte titre ordinaire, vous pouvez vous rendre auprès d’un intermédiaire financier, d’une banque ou d’un courtier en ligne. Il est également indispensable que vous disposiez d’un compte courant. En outre, il n’y a pas de plafond d’investissement avec le compte titre ordinaire. Vous devez aussi fournir certains documents comme les justificatifs d’identité et de domicile ou le RIB pour ouvrir votre compte. 

Les spécificités du compte titre ordinaire

Permettant de faire un investissement en bourse, le compte titre ordinaire intéresse de nombreux épargnants. Selon vos besoins spécifiques, il se présente sous trois formes. Le compte titre individuel ne reste accessible qu’à un seul titulaire. Ce dernier a le droit d’effectuer tout type d’opérations boursières. Quant au compte titre joint, comme son nom l’indique, il convient à deux personnes. Ainsi, chacun de ses individus est habilité à l’utiliser. En outre, le compte titre indivis concerne plusieurs propriétaires. Pour faire une opération, il requiert l’accord commun de tous les intéressés.

Un compte titre ordinaire se différencie également vis-à-vis de ses modes de gestion. Pour une gestion libre, le titulaire du compte opte de son plein gré pour l’investissement qu’il souhaite faire. Il est juste tenu de passer des ordres à un courtier. La gestion profilée offre à son propriétaire la possibilité de placer de l’argent dans des portefeuilles prédéfinis. Enfin, si vous choisissez la gestion pilotée, vous serez aidé par des conseillers spécialisés en ce qui concerne les fonds. 

Les avantages tirés d’un compte titre ordinaire

Avec Kiwi Finance, découvrez-en un rien de temps tous les privilèges que vous allez obtenir pour l’ouverture d’un compte titre ordinaire. Primo, l’ouverture et la fermeture de ce type de compte ne nécessite pas de démarches complexes. Si vous souhaitez acquérir des titres, il n’existe pas non plus une obligation de montant. Par ailleurs, suivant votre projet, vous pouvez investir sur les marchés internationaux. 

Le compte titre ordinaire s’impose comme un support adapté à toutes les personnes qui souhaitent effectuer un investissement à court terme. Vous êtes libre de placer votre argent dans des produits dérivés. Il offre également un accès au système de Règlement Différé ou le SRD. En effet, avec ce type de compte, vous pouvez utiliser des stratégies de gestion. Dans ce cas, vous aurez l’opportunité d’opter pour la vente à découvert. Cela vous profitera de l’effet de levier et de la baisse de l’action. Ces derniers qui tendent à amplifier les variations d’un titre éligible au SRD. 

Comment vendre son or via internet à distance ?

Vendre son or peut être une très bonne idée pour se faire de l’argent. On peut vendre tout type d’or, mais lorsque la décision est prise, comment faut-il procéder exactement ? Retrouvez les éléments de réponse dans cet article.

Pourquoi vendre son or en ligne ?

Lorsqu’on souhaite revendre son or, la meilleure solution pour gagner du temps, c’est le rachat or en ligne. La vente en ligne est aussi recommandée pour des personnes loin des agences de vente ou dont le planning est trop chargé pour se déplacer. Mais de nos jours, la vente en ligne est beaucoup plus que ça. C’est une tendance qui se démocratise chaque jour et facilite la vie à de nombreuses personnes dans le besoin d’argent.

Vous pourrez vendre votre or sous forme de lingot ou de bijoux. Il est donc possible de vendre vos bagues, colliers, boucles d’oreilles, débris, chevalière, couronne dentaire, gourmette, pièce médaille. Il suffit d’identifier le site en ligne qui vous inspire le plus confiance et d’effectuer les démarches nécessaires.

Comment détermine-t-on le prix à distance ?

Pour revendre ses vieux bijoux en or à distance, il est important de choisir un site qui offre des services d’achat d’or en ligne, basés sur une totale transparence. Cependant, le prix de l’or dépend de l’acheteur et du pays du règlement en vigueur dans le pays d’achat. C’est pour cela qu’il est préférable de le revendre dans un pays comme la Belgique où les prix pratiqués sont plus élevés.

Il faut savoir que la plupart des acheteurs font la transaction en fonction du prix fixé par le cours du jour. Mais heureusement, d’autres sites achètent l’or à sa juste valeur en vue de le revendre comme bijoux d’occasion. Ainsi, vous aurez assez d’argent pour investir avec la loi Malraux et optimiser vos ressources financières.

Revendre son or, un processus simple

Dans le cadre du rachat or, il faut d’abord contacter le site acheteur pour fixer une date de récupération. L’on vous enverra alors une enveloppe pour l’expédition des bijoux. Vous devrez alors préparer vos bijoux et les mettre dans l’enveloppe avec une copie de votre carte d’identité. L’acheteur vous envoie alors son transporteur pour récupérer les objets à vendre sans limites de valeur. Il faudra ensuite ajouter vos coordonnées bancaires puis donner le colis au transporteur.

Une fois que vos objets sont récupérés, un tri est effectué pour séparer les métaux précieux de ceux qui ne le sont pas. Un expert effectuera la recherche de poinçons pour déterminer la teneur exacte en métal. D’autres tests peuvent être réalisés pour s’assurer du type de métal afin de récupérer uniquement l’or. Les objets réellement en or seront alors pesés et photographiés sur la balance afin que l’image serve de preuve.

Dans certains cas, vous pourrez assister à l’évaluation par vidéo-conférence. D’autres sites peuvent filmer le processus d’évaluation et mettre à votre disposition le fichier vidéo pendant une durée fixe. La photo vous est envoyée par mail ou un canal de votre choix pour que vous puissiez accepter ou rejeter l’offre d’achat. En cas d’acceptation, le paiement est effectué en 24h par moyen choisi.

Comment fonctionne la délégation d’assurance emprunteur ?

L’assurance de prêt est parfois peu évoquée lors de la signature d’un prêt. Cependant, les emprunteurs doivent absolument savoir qu’il existe des possibilités autres que l’assurance emprunteur proposée par la banque. Il est important de s’informer sur la délégation d’assurance et de comprendre les droits de l’emprunteur.

La banque peut-elle refuser une délégation d’assurance emprunteur ?

La banque est en mesure de refuser la délégation d’assurance à un emprunteur. En effet, elle en a totalement le droit mais uniquement dans certaines conditions. Lorsque vous avez contracté un emprunt, la banque vous a proposé un contrat d’assurance de groupe afin de couvrir votre prêt. Ce contrat définit le niveau minimum de garantie pour votre cas.

Si vous lui proposez une délégation d’assurance avec un niveau inférieur à ce minimum, la banque refuse systématiquement le contrat. Elle ne peut pas accepter un contrat qui ne vous couvre pas assez. Vous devez alors bien vérifier les garanties sur votre nouveau contrat pour qu’il puisse être accepté par la banque.

S’il n’y a aucune raison ou si elle est différente de ce qu’il vient d’être expliqué, la banque n’aura pas le droit de refuser une délégation d’assurance. Les emprunteurs sont autorisés à faire de la délégation d’assurance où ils veulent et avec le contrat qu’ils veulent en respectant le minimum de garanties souhaitées par la banque prêteuse.

Quelles sont les lois en faveur des emprunteurs au sujet de l’assurance de prêt ?

Depuis quelques années, les emprunteurs sont de plus en plus avantagés par rapport à l’assurance de prêt. Cette dernière est systématiquement demandée par les banques, alors il était important d’améliorer les possibilités pour les emprunteurs.

En premier lieu, nous retrouvons la loi Lagarde. Elle est en place depuis 2010 et autorise la délégation d’assurance. Ainsi, les emprunteurs ont le droit de souscrire un contrat d’assurance de prêt auprès d’une compagnie d’assurance extérieure à l’établissement de prêt. Comme expliqué précédemment, il y a une seule condition : souscrire un contrat avec une équivalence des garanties de celui de la banque.

Quatre ans plus tard, soit en 2014, la loi Hamon améliore encore plus les conditions des emprunteurs pour l’assurance de prêt. En effet, elle permet à l’emprunteur de changer de contrat d’assurance de prêt en cours de contrat. Il a le droit de contracter une autre assurance emprunteur dans les 12 premiers mois à partir de la signature de son emprunt, toujours dans les mêmes conditions d’équivalence.

Enfin, depuis le 1er janvier 2018, l’emprunteur peut changer encore plus facilement d’assurance emprunteur. L’amendement Bourquin, également appelé loi Sapin 2, permet aux emprunteurs de changer d’assurance chaque année à la date anniversaire du prêt. Après la première année, le changement peut se faire uniquement à cette date précise.

Ces trois lois ont apporté de réels avantages aux emprunteurs. Ils peuvent avoir accès à un plus large panel d’offres d’assurance emprunteur. Ceci engendre de la concurrence et ainsi une baisse des prix qui jouent en faveur des emprunteurs.

Quels sont les profils ayant le plus intérêt à réaliser un changement d’assurance emprunteur ?

Pour savoir si votre profil est avantageux et vous permet de bénéficier au mieux d’un changement d’assurance de prêt, nous vous conseillons de prendre plusieurs éléments en compte. Vous devez vérifier votre âge, le montant du prêt et du capital restant dû, la date de souscription mais aussi votre état de santé. Tout ceci détermine votre profil et vos bénéfices à changer d’assurance emprunteur.

En général, les profils les plus appréciés et qui profitent de prix déjà attractifs ont le plus intérêt à changer d’assurance. Il s’agit par exemple des couples de personnes de moins de 45 ans, qui ne fument pas, qui sont en bonne santé ou encore qui ont une bonne situation financière. Il est plus facile pour les assureurs de leur proposer des tarifs bas car ils sont moins à risques.

Il faut tout de même savoir que les personnes âgés de plus de 50 ans peuvent aussi trouver des avantages considérables dans un changement d’assurance. Les différences sont moins conséquentes mais cela est quand même intéressant.

Enfin, un profil qui a tout intérêt à changer d’assurance : une personne célibataire d’âge moyen qui avait une maladie mais en est guéri depuis quelques années. Avec ce problème de santé, elle payait une surprime qu’elle ne paiera plus grâce au droit à l’oubli. Elle peut réaliser de véritables économies allant jusqu’à des milliers d’euros.

Santé financière d’une entreprise : comment faire le point ?

santé financière

La naissance d’un partenariat commercial entre deux entreprises nécessite d’être bien préparé. En effet, il s’avère essentiel de prendre en considération la santé financière de son partenaire potentiel, afin d’éviter les mauvaises surprises. Cela permet également de bâtir une relation reposant sur la confiance. Mais alors, comment faire le point sur la solvabilité et la santé financière d’une entreprise ? Quels sont les indicateurs à prendre en considération ?

Calculer le niveau de trésorerie, pour connaître la santé financière de l’entreprise

Connaître la trésorerie d’une entreprise permet de se faire une idée plus précise, concernant sa santé financière et sa solvabilité. Lorsqu’une entreprise possède suffisamment de trésorerie, elle est en mesure d’honorer ses dettes en temps et en heure, mais aussi de se développer. En d’autres termes, une société avec un bon niveau de trésorerie est une entreprise pérenne.

Comment calculer la trésorerie d’une société ? Pour cela, il faut prendre en considération les ressources pouvant être mobilisées immédiatement, ainsi que les actifs de l’entreprise, ses créances, les stocks, etc. Si le montant de cette trésorerie est supérieur à la somme des dettes de la société, alors celle-ci peut être considérée comme solvable. Le calcul du niveau de la trésorerie peut être réalisé par un expert. Confier l’analyse d’un potentiel partenaire à un cabinet spécialisé s’avère essentiel, pour suivre la santé financière d’une entreprise.

Le chiffre d’affaires et les bénéfices : d’autres indicateurs à prendre en compte

Bien sûr, le chiffre d’affaires ainsi que les bénéfices sont deux indicateurs qui permettent de faire le point sur la santé de l’entreprise. Mais un autre indicateur doit également être pris en considération : il s’agit de la croissance du CA et des bénéfices du partenaire potentiel.

Le chiffre d’affaires doit posséder une courbe de croissance similaire à celle des bénéfices. Si ce n’est pas le cas, cela signifie que la solvabilité et la pérennité de l’entreprise sont mises à mal. En effet, si le CA augmente et les bénéfices stagnent, il y a de fortes chances pour que l’entreprise ne dispose pas de liquidités suffisantes. Là encore, pour faire le point sur la croissance du CA et des bénéfices, il est préférable de faire appel à une société spécialisée dans l’analyse de la santé financière des entreprises.

Le niveau d’endettement de l’entreprise en dit long sur sa santé financière

Connaître le niveau d’endettement d’une entreprise permet de faire le point sur le ratio entre les dépenses de l’entreprise et ses fonds propres. Le niveau d’endettement se calcule comme suit : dettes globales/capitaux propres x 100. Si le résultat est inférieur à 100 %, alors la société est solvable et peut même prétendre à un emprunt bancaire. Lorsque le niveau d’endettement atteint les 200 %, il s’agit d’une alerte solvabilité qui doit être prise en compte.

Pour en savoir plus sur la santé financière d’un partenaire, prendre connaissance de son Kbis

L’extrait Kbis est en quelque sorte la carte d’identité de l’entreprise. On y retrouve des informations essentielles, telles que le capital de la société, les procédures en cours, etc. Prendre connaissance du Kbis d’une entreprise permet de faire le point sur sa solvabilité et sur les garanties en cas d’impayés.